Logo La Porte Latine FSSPX
fraternité sainte pie X

Actualités

suivez-​nous !

fraternité sainte pie X

Agenda

nos prochains évènements en France

Qui
sommes-nous ?

une communauté sacerdotale

La Fraternité Sacerdotale Saint Pie X est une socié­té de prêtres catho­liques fon­dée par Mgr Marcel Lefebvre en 1970. Son But essen­tiel est la for­ma­tion de bons prêtres par les moyens que l’Église a tou­jours employés.

La maison
du district

Connaître nos supé­rieurs, accé­der aux com­mu­ni­qués offi­ciels, deman­der un cer­ti­fi­cat de baptême.

Nos maisons
en France

Bastions de la foi et phares de la Chrétienté, elles sont la base de notre apostolat. 

Les œuvres
du district

Offrir à cha­cun la pos­si­bi­li­té de s’in­ves­tir au ser­vice de Notre-​Seigneur Jésus-​Christ et d’ap­pro­fon­dir sa vie chrétienne.

La
vocation

Prêtre, frère, oblate, sœur de la FSSPX. Comment répondre à l’ap­pel de Dieu ? 

Où trouver
nos lieux de messe

la fraternité saint-​pie X en france

La Fraternité Sacerdotale Saint Pie X est for­te­ment implan­tée en France avec plus de 40 prieu­rés. Elle des­sert 125 lieux de culte où la sainte messe est célé­brée les dimanches, fêtes et jours de semaine. La Fraternité Saint Pie X des­sert éga­le­ment cer­taines com­mu­nau­tés amies. Cliquez ci-​dessous pour trou­ver un lieu de messe de la fra­ter­ni­té et ses horaires en France.

La messe en direct

de saint-​nicolas-​du-​chardonnet

Si tu dis que tu es saint par toi-​même, tu es un orgueilleux ; mais toi, fidèle dans le Christ et membre du Christ, si tu dis que tu n’es pas saint, tu es un ingrat. Reconnais donc, et que tu pos­sèdes, et que tu ne pos­sèdes rien de toi-​même, afin de n’être ni orgueilleux ni ingrat.
Saint Augustin
fraternité sainte pie X

Médias

suivez-​nous !

Martyrologe

A Nazianze, en Cappadoce, l’an­ni­ver­saire du bien­heu­reux Grégoire évêque, confes­seur et doc­teur de l’é­glise, sur­nom­mé le Théologien à cause de sa science pro­fonde des choses divines. Comme évêque de Constantinople, il res­tau­ra dans cette ville la foi catho­lique, pres­qu’en­tiè­re­ment éteinte, et y étouf­fa les héré­sies naissantes.

A Rome, saint Hermas, dont parle l’Apôtre Paul dans l’é­pitre aux Romains. Hermas se sacri­fiant lui-​même, et deve­nu une hos­tie agréable à Dieu, entra dans le royaume des cieux après s’être illus­tré par ses vertus.

A Cagli, sur la voie Flaminienne, saint Géronce, évêque de Ficocla.

En Perse, trois cent dix bien­heu­reux martyrs.

En égypte, saint Pacôme abbé. Il éri­gea dans ce pays de nom­breux monas­tères, et écri­vit, sous la dic­tée d’un ange, une Règle pour les moines.

Dans la place forte de Vendôme, en France, la mise au tom­beau de saint Béat confesseur.

A Bologne, le Bienheureux Nicolas Albergati, moine char­treux, évêque de cette ville et Cardinal de la sainte église romaine. Il fut célèbre par sa sain­te­té et par les léga­tions apos­to­liques dont il fut char­gé. Son corps fut inhu­mé à Florence, chez les Chartreux.

A Constantinople la trans­la­tion de l’Apôtre saint André et celle de l’é­van­gé­liste Luc, rap­por­tés d’Achaïe ; celle aus­si de Timothée, l’un des dis­ciples du bien heu­reux Apôtre Paul, rap­por­té d’Ephèse ; Le corps de saint André fut long­temps après trans­fé­ré à Amalfi, où il est hono­ré du pieux concours des fidèles : de son tom­beau s’é­chappe une huile qui a la ver­tu de gué­rir les maladies.

A Rome, la trans­la­tion de saint Jérôme prêtre, confes­seur et doc­teur de l’é­glise. Son corps fut appor­té de Bethléem de Juda à la basi­lique de Sainte-Marie-à-la-crèche.

A Bari, dans la Pouille, la trans­la­tion de saint Nicolas, évêque et confes­seur, appor­té de Myre, ville de Lycie.

Sanctoral

Saint Grégoire de Nazianze Confesseur et Docteur de l’Église

Grégoire naquit à Nazianze, en Cappadoce (Asie Mineure). Il fit à Athènes des études très pous­sées, en même temps que saint Basile le Grand auquel il fut tou­jours uni par les liens d’une sainte ami­tié. Frères dans l’é­tude, ils le furent dans la vie monas­tique et dans l’é­pis­co­pat. Préposé à l’e­glise de Nazianze et nom­mé plus tard patriarche de Constantinople en 379, saint Grégoire pur­gea cette ville des héré­sies dont elle était infes­tée, et la rame­na à la foi catho­lique ; mais son zèle, qui aurait dû lui conci­lier la pro­fonde affec­tion de tous, lui atti­ra l’en­vie d’un grand nombre. Il renon­ça alors spon­ta­né­ment à l’é­pis­co­pat et revint à Nazianze où il se livra tout entier à la contem­pla­tion des choses divines et à la com­po­si­tion d’ou­vrages théo­lo­giques. Il écri­vit beau­coup, et en prose et en vers, avec une pié­té et une élo­quence admi­rables ; il a méri­té cet éloge que l’on ne trouve rien dans ses écrits qui ne soit conforme aux règles de la vraie pié­té et de la foi catho­lique. Il fut le ferme et zélé défen­seur de la consub­stan­tia­li­té du Fils. Les solides connais­sances de saint Grégoire en sciences sacrées et la pro­fon­deur avec laquelle il a par­lé de la Trinité lui ont valu le titre de « Théologien », que l’Église a consacré.

Saint Grégoire mou­rut vers 390.

Jeudi 9 mai 2024

Ascension de Notre-​Seigneur Jésus-Christ

1re classe